Comme en 1948, les armées arabes coalisées ont été défaites de la manière la plus indigne, la plus atroce, et la plus déshonorante du Golfe à l’Océan Atlantique. Ce fut une guerre éclair qui dura en tout et pour tout, six jours.
Des contingents entiers de l’armada arabe n’avaient mieux trouvé que de se rendre ou de fuir devant la poussée très bien organisée des troupes israéliennes sous le commandement du fin connaisseur des lieux et des mentalités arabes : Moshé Dayan.
Ce fut sans conteste, une défaite cuisante que ni les dirigeants des pays de la région complètement dépassés par les événements, ni leurs armées piètrement motivées, mal entraînées et affreusement désorganisées, ne sauraient être un jour prêts à jeter dans les oubliettes de leur histoire commune, ni à plus forte raison s’en orgueillir aux yeux des générations futures.
Pour les pays arabes, il s’agissait tout naïvement de jeter des corps éparpillés d’Israéliennes et d’Israéliens, une fois pour toutes, dans les eaux du Golfe, dans celles de la Méditerranée, et dans celles de l’Océan Atlantique.
La propagande guerrière mensongère et prétentieuse n’aura finalement servi à rien si ce ne fut pour tromper amèrement leurs peuples respectifs. Rien de ce que rapportaient leurs médias n’était un tant soit peu vrai, crédible, ni même plausible.
Les générations actuelles ont, si transparence il y a, le droit de revendiquer la vérité de ce qui s’était passé, vu qu’elles n’ont guère le devoir d’assumer de tels affronts d’une histoire émaillées de défaites cinglantes, de fausses épopées lyriques(…)
En l’espace de six jours, alors que les armées coalisées arabes prétendaient libérer la Palestine des griffes de l’occupant sioniste, ce fut un renversement horrible de la situation tant militaire que politique, qu’économique. Coup sur coup, ce fut l’occupation du Sinaï, de la Cisjordanie et du plateau du Golan, en plus évidemment de l’occupation désastreuse d’Elqods, et des menaces qui perduraient sur le Liban.
Les Etats de la région, persistent et signent en commémorant tantôt la Nakba de 1948, tantôt la Naksa de 1967, et de celle de 1973/74.
Les peuples arabes se doivent d’interroger ces différentes Naksas qui se sont tellement répétées, à travers l’histoire/les histoires de ce qu’on appelle communément les guerres du monde arabe, que ces peuples se son mis à fouiner dans les annales de guerres de libération dans l’espoir de découvrir d’éventuelles victoires contre l’occupation sioniste./.
DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI
Des contingents entiers de l’armada arabe n’avaient mieux trouvé que de se rendre ou de fuir devant la poussée très bien organisée des troupes israéliennes sous le commandement du fin connaisseur des lieux et des mentalités arabes : Moshé Dayan.
Ce fut sans conteste, une défaite cuisante que ni les dirigeants des pays de la région complètement dépassés par les événements, ni leurs armées piètrement motivées, mal entraînées et affreusement désorganisées, ne sauraient être un jour prêts à jeter dans les oubliettes de leur histoire commune, ni à plus forte raison s’en orgueillir aux yeux des générations futures.
Pour les pays arabes, il s’agissait tout naïvement de jeter des corps éparpillés d’Israéliennes et d’Israéliens, une fois pour toutes, dans les eaux du Golfe, dans celles de la Méditerranée, et dans celles de l’Océan Atlantique.
La propagande guerrière mensongère et prétentieuse n’aura finalement servi à rien si ce ne fut pour tromper amèrement leurs peuples respectifs. Rien de ce que rapportaient leurs médias n’était un tant soit peu vrai, crédible, ni même plausible.
Les générations actuelles ont, si transparence il y a, le droit de revendiquer la vérité de ce qui s’était passé, vu qu’elles n’ont guère le devoir d’assumer de tels affronts d’une histoire émaillées de défaites cinglantes, de fausses épopées lyriques(…)
En l’espace de six jours, alors que les armées coalisées arabes prétendaient libérer la Palestine des griffes de l’occupant sioniste, ce fut un renversement horrible de la situation tant militaire que politique, qu’économique. Coup sur coup, ce fut l’occupation du Sinaï, de la Cisjordanie et du plateau du Golan, en plus évidemment de l’occupation désastreuse d’Elqods, et des menaces qui perduraient sur le Liban.
Les Etats de la région, persistent et signent en commémorant tantôt la Nakba de 1948, tantôt la Naksa de 1967, et de celle de 1973/74.
Les peuples arabes se doivent d’interroger ces différentes Naksas qui se sont tellement répétées, à travers l’histoire/les histoires de ce qu’on appelle communément les guerres du monde arabe, que ces peuples se son mis à fouiner dans les annales de guerres de libération dans l’espoir de découvrir d’éventuelles victoires contre l’occupation sioniste./.
DE VIVE VOIX : Mohammed ESSAHLAOUI
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